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Détail de l'auteur
Auteur Claude Mey (1712-1796)
Commentaire :
Abbé canoniste
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Dissertation dans laquelle on démontre que la Bulle Unigenitus n'est ni loi de l'Eglise ni loi de l'Etat / Claude Mey
Titre : Dissertation dans laquelle on démontre que la Bulle Unigenitus n'est ni loi de l'Eglise ni loi de l'Etat Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Mey (1712-1796), Auteur Editeur : [s.l.] [France] : [s.n.] Année de publication : 1752 Importance : 1 vol. 234 Présentation : gravure sous le titre, rel. Format : 17 cm, in 12° Langues : Français (fre) Catégories : A Théologie Mots-clés : A48 Index. décimale : XVIII ème siècle Dissertation dans laquelle on démontre que la Bulle Unigenitus n'est ni loi de l'Eglise ni loi de l'Etat [texte imprimé] / Claude Mey (1712-1796), Auteur . - [s.l.] [France] : [s.n.], 1752 . - 1 vol. 234 : gravure sous le titre, rel. ; 17 cm, in 12°.
Langues : Français (fre)
Catégories : A Théologie Mots-clés : A48 Index. décimale : XVIII ème siècle Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité A300 A300 Imprimé réserve mezzanine Documentaires Disponible Maximes du droit public français, tirées des capitulaires, des ordonnances du royaume et des autres monuments de l'histoire de France / Claude Mey
Titre : Maximes du droit public français, tirées des capitulaires, des ordonnances du royaume et des autres monuments de l'histoire de France : Suivi d'une dissertation sur le droit de convoquer les Etats Généraux Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Mey (1712-1796), Auteur ; Gabriel-Nicolas Maultrot (1714-1803), Continuateur Mention d'édition : 2e éd Editeur : Amsterdam [Pays-Bas] : Marc-Michel Rey Année de publication : 1775 Importance : 2 t. en 1 vol. 451 p.-36 p. Présentation : rel. plein veau blond raciné Format : in 4° Note générale : Signet de saisie: Kersaint Langues : Français (fre) Catégories : B Jurisprudence:BVI Droit français ancien Mots-clés : Droit public -- France Index. décimale : XVIII ème siècle Résumé : L. Fonbaustier, dans une cycle de conférence organisé par l’Association Lanjuinais de Rennes et consacré à « l’État moderne » considère ces maximes comme « enracinées dans la tradition libérale concernant la souveraineté du peuple, la délégation révocable faite au magistrat, la possibilité de le destituer : [elles] se trouvent alors en très bonne place, parmi les références majeures, les conciliaristes et néo-conciliaristes eux-mêmes ».Dupin (réf. 950) indique que l’auteur « développe dans cet ouvrage avec une érudition immense et une libre énergie, les principes de tout gouvernement en général, et ceux du gouvernement français en particulier. La flatterie qui enhardit le despotisme, et la mollesse qui le laisse régner paisiblement y sont combattues avec une égale force. L’ouvrage a été fait d’abord en commun par Mey, Maultrot, Aubry membres d’une société de jurisconsultes, parmi lesquels je tiens à grand honneur d’avoir été admis. Mey tenait la plume, de là est résultée la première édition. Ensuite Maultrot a fait beaucoup d’additions, qu’il envoyait à Blonde, alors fugitif en Hollande ; et de là la seconde édition.Ni Moutblin, ni Lauraguais, n’y ont eu part, comme quelques bibliographes l’ont avancé. De ces trois dignes amis, Aubry est mort à Paris en janvier 1787 ; Claude Mey, né à Lyon, le 16 janvier 1712 reçu avocat à Paris le 14 août 1739 est mort le 24 prairial an IV à Sens ; Gabriel-Nicolas Maultrot, de Paris, reçu avocat le 6 juillet 1733 est mort à Paris au mois de ventôse an XI ».Gabriel-Nicolas Maultrot, avocat au Parlement de Paris, naît en 1733 et meurt en 1803, ce qui fait de lui un témoin et un acteur des bouleversements politiques du xviiie siècle français. Lié au parti janséniste, sa réflexion sur la division du pouvoir au sein de l’Église se prolonge dans son analyse des institutions de la Royauté. La seconde édition des Maximes du droit français est publiée après le conflit qui a opposé aux Parlements René Nicolas Charles Augustin de Maupeou (1714-1792), auteur d’une importante réforme judiciaire. Ce conflit fut résolu par le rappel des Parlements et le renvoi du ministre, dès l’avènement de Louis XVI (1754-1793). L’ouvrage de Maultrot souligne la dissociation nécessaire entre le politique et le religieux, entre le gouvernement et l’État, et rappelle le contrôle sur le souverain que doit avoir la Nation, par l’intermédiaire de son émanation, les Parlements, voire les États-généraux. Bien qu’opposant radical à l’absolutisme et défenseur des droits des curés contre l’épiscopat sous l’Ancien régime, Gabriel Maultrot sera un ferme adversaire de la politique religieuse de la Révolution française (BNF réf. FRBNF30114835). Maximes du droit public français, tirées des capitulaires, des ordonnances du royaume et des autres monuments de l'histoire de France : Suivi d'une dissertation sur le droit de convoquer les Etats Généraux [texte imprimé] / Claude Mey (1712-1796), Auteur ; Gabriel-Nicolas Maultrot (1714-1803), Continuateur . - 2e éd . - Amsterdam [Pays-Bas] : Marc-Michel Rey, 1775 . - 2 t. en 1 vol. 451 p.-36 p. : rel. plein veau blond raciné ; in 4°.
Signet de saisie: Kersaint
Langues : Français (fre)
Catégories : B Jurisprudence:BVI Droit français ancien Mots-clés : Droit public -- France Index. décimale : XVIII ème siècle Résumé : L. Fonbaustier, dans une cycle de conférence organisé par l’Association Lanjuinais de Rennes et consacré à « l’État moderne » considère ces maximes comme « enracinées dans la tradition libérale concernant la souveraineté du peuple, la délégation révocable faite au magistrat, la possibilité de le destituer : [elles] se trouvent alors en très bonne place, parmi les références majeures, les conciliaristes et néo-conciliaristes eux-mêmes ».Dupin (réf. 950) indique que l’auteur « développe dans cet ouvrage avec une érudition immense et une libre énergie, les principes de tout gouvernement en général, et ceux du gouvernement français en particulier. La flatterie qui enhardit le despotisme, et la mollesse qui le laisse régner paisiblement y sont combattues avec une égale force. L’ouvrage a été fait d’abord en commun par Mey, Maultrot, Aubry membres d’une société de jurisconsultes, parmi lesquels je tiens à grand honneur d’avoir été admis. Mey tenait la plume, de là est résultée la première édition. Ensuite Maultrot a fait beaucoup d’additions, qu’il envoyait à Blonde, alors fugitif en Hollande ; et de là la seconde édition.Ni Moutblin, ni Lauraguais, n’y ont eu part, comme quelques bibliographes l’ont avancé. De ces trois dignes amis, Aubry est mort à Paris en janvier 1787 ; Claude Mey, né à Lyon, le 16 janvier 1712 reçu avocat à Paris le 14 août 1739 est mort le 24 prairial an IV à Sens ; Gabriel-Nicolas Maultrot, de Paris, reçu avocat le 6 juillet 1733 est mort à Paris au mois de ventôse an XI ».Gabriel-Nicolas Maultrot, avocat au Parlement de Paris, naît en 1733 et meurt en 1803, ce qui fait de lui un témoin et un acteur des bouleversements politiques du xviiie siècle français. Lié au parti janséniste, sa réflexion sur la division du pouvoir au sein de l’Église se prolonge dans son analyse des institutions de la Royauté. La seconde édition des Maximes du droit français est publiée après le conflit qui a opposé aux Parlements René Nicolas Charles Augustin de Maupeou (1714-1792), auteur d’une importante réforme judiciaire. Ce conflit fut résolu par le rappel des Parlements et le renvoi du ministre, dès l’avènement de Louis XVI (1754-1793). L’ouvrage de Maultrot souligne la dissociation nécessaire entre le politique et le religieux, entre le gouvernement et l’État, et rappelle le contrôle sur le souverain que doit avoir la Nation, par l’intermédiaire de son émanation, les Parlements, voire les États-généraux. Bien qu’opposant radical à l’absolutisme et défenseur des droits des curés contre l’épiscopat sous l’Ancien régime, Gabriel Maultrot sera un ferme adversaire de la politique religieuse de la Révolution française (BNF réf. FRBNF30114835). Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité C186 C186 Imprimé réserve DE Documentaires Disponible